Les étudiants choisissent le Csc Providence pour explorer le domaine de l’enseignement

Le Csc Providence offre présentement aux étudiants collégiaux et universitaires une variété de postes temporaires à temps partiel, tels que secrétaire, concierge, éducateur et enseignant suppléant dont les salaires se situent entre 19,59 $ et 23,63 $ l'heure.

Depuis le début de la pandémie de la Covid-19, plusieurs étudiants se sont retrouvés sans emploi dans diverses régions canadiennes. Par exemple, à Montréal, on parlait récemment de milliers d’étudiants ayant perdu leur emploi dans le domaine de la restauration seulement. Bien que plusieurs entreprises dans la région du Sud-Ouest ontarien n’aient malheureusement pas échappé à la pandémie, le Conseil scolaire catholique Providence, quant à lui, cherche à accroitre son équipe, en particulier du côté des personnes suppléantes.

La suppléance est une occasion en or d’explorer les diverses avenues possibles dans le domaine de l’enseignement, comme éducateur, enseignant suppléant non qualifié, secrétaire, concierge et bien d’autres! De plus, il est bon de savoir qu’il n’est pas nécessaire d’être aux études dans un domaine lié à l’enseignement pour postuler. Les critères d’embauche, pour plusieurs des postes de suppléance offerts, consistent à avoir son diplôme d’études secondaires et à être francophone ou francophile. Dans certains cas, de l’expérience pertinente représente notamment un atout, tel que le service à la clientèle, l’animation de camps de jour, le gardiennage ou le travail manuel.

En plus du salaire avantageux, les étudiants collégiaux ou universitaires bénéficient d’un horaire flexible, facilement modulable en fonction de leur horaire. Sans compter que les fins de semaine sont des congés assurés! Le Conseil scolaire catholique Providence est doté d’un Système d’appel à la suppléance des employés (SASE), qui permet de communiquer avec les candidats dont les qualifications et les préférences correspondent aux besoins de remplacement temporaires de courte, moyenne ou longue durée. Lorsqu’une personne suppléante reçoit un appel du système automatisé, celle-ci n’a qu’à suivre les directives vocales pour accepter ou refuser l’offre proposée. 

Œuvrer à titre de personne suppléante au Conseil scolaire catholique Providence permet d’acquérir une expérience de travail enrichissante et des compétences professionnelles utiles. En plus d’améliorer les chances d’embauche dans ce domaine, cette expérience et ces nouvelles compétences peuvent grandement faciliter l’accès à un poste permanent au sein du Conseil, une fois les études terminées. D’ailleurs, « C’est un bon milieu pour commencer dans la profession. On travaille davantage le perfectionnement professionnel. Il y a beaucoup d’appuis personnalisés en salle de classe et les relations sont plus chaleureuses entre les collègues. » explique Denis Robert, surintendant adjoint de l’éducation retraité du Conseil scolaire catholique Providence.

Providence, c’est bien plus qu’une façon de gagner un revenu! C’est aussi l’employeur idéal pour vous permettre de parfaire vos connaissances, tout en contribuant par votre travail à la réussite des élèves et à la promotion de la culture franco-ontarienne. De plus, votre travail sera d’autant plus enrichissant qu’il se déroulera dans un contexte de forte croissance, alors que le nombre d’élèves fréquentant une école Providence a doublé au cours des 20 dernières années. Avec maintenant quelque 2 500 employés et près de
10 000 élèves fréquentant 23 écoles élémentaires et 7 écoles secondaires, Providence est en effet le plus grand employeur francophone dans le Sud-Ouest ontarien! Vous pourrez donc bénéficier de défis stimulants, d’excellentes possibilités d’emploi et de carrière ainsi que d’une formation continue en milieu de travail que seul un employeur aussi important que Providence peut offrir. Choisissez Providence, pour travailler, vivre et vous épanouir !

Au cours des dernières années, notre croissance nous a permis d’offrir en moyenne 70 postes chaque année. De ce fait, nous maintenons une banque de candidats qui nous permettront de combler les postes vacants actuels et futurs.

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Le Conseil scolaire catholique PROVIDENCE

Le plus grand employeur francophone du sud-ouest de l'Ontario

Les enseignants choisissent le sud-ouest de l’Ontario

Il existe de nombreux avantages à s’établir dans la région du Sud-Ouest ontarien qui inclut les agglomérations de London (494 069 habitants) et Windsor (329 144 habitants). D’abord, il y a le climat – Windsor étant la ville canadienne à l’extérieur de la Colombie-Britannique où le mercure indique les températures les plus douces. Pendant la saison froide qui dure seulement 3,3 mois, on connaît des températures quotidiennes moyennes qui se situent en-deçà de 5 °C, selon Environnement Canada. La journée la plus froide, le 29 janvier, enregistre une température minimale moyenne de -7 degrés et maximale de 0 degrés Celsius.

Pour Denis Robert, le climat et la qualité de vie ont été des facteurs déterminants dans son choix de travailler et de vivre dans le sud-ouest de l’Ontario. Natif du Nord, Monsieur Robert a démarré sa carrière en éducation en tant qu’enseignant à Pain Court, au nord-est de Windsor. Quoiqu’il ait quitté son poste au bout de 4 ans afin de se rapprocher de sa famille à Timmins, le souvenir du Sud-Ouest est resté. De fil en aiguille, après avoir travaillé à Toronto comme direction adjointe pendant 13 ans, Monsieur Robert était ravi d’accepter un poste de surintendant adjoint au Conseil scolaire catholique Providence : « Windsor, c’est ce qui se rapproche le plus de la Floride au Canada », affirme-t-il. Il ajoute que le rythme de vie est drôlement plus calme à Windsor.

De plus, le coût de la vie dans le Sud-Ouest permet à un enseignant ou une enseignante d’optimiser son salaire. En 2018, le prix médian d’une maison à 2 étages à London était de 395 486$, tandis qu’à Ottawa il se situait à 464 019$. La médiane du prix du même type de maison à Windsor était de 223 501$.

Ensuite, il y a les avantages professionnels de travailler dans la région. Gina Gobbi, diplômée en éducation de l’Université Laurentienne, travaille dans le Sud-Ouest depuis vingt-cinq ans. Elle y a fait belle carrière – œuvrant d’abord comme enseignante pour éventuellement devenir direction adjointe et direction d’école, et maintenant, comme direction des services à l’élève au Conseil scolaire catholique Providence.

Madame Gobbi apprécie la vision de la réussite de l’élève au sein du conseil scolaire: « Ici, on croit que dans un environnement qui le lui permet, chaque élève a la capacité d’atteindre son plein potentiel », dit-elle. Elle ajoute que beaucoup d’appuis sont offerts pour bien outiller le personnel en salle de classe. Voilà pourquoi le conseil a mis en place le système de soutien au comportement positif (SCP) afin d’encourager l’élève à s’autoréguler. Lorsque l’élève a des besoins plus poussés – en travail social, en psychologie ou en orthophonie par exemple – ce n’est jamais très long entre la demande et la prestation des services affirme-t-elle. « Je suis fière de la façon dont on s’occupe de nos élèves ».

Au cours des dernières années, notre croissance nous a permis d’offrir en moyenne 70 postes chaque année. De ce fait, nous maintenons une banque de candidats qui nous permettront de combler les postes vacants actuels et futurs.

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Les enseignants du Québec choisissent le sud-ouest de l’Ontario

Dans le sud-ouest de l’Ontario, le coût de la vie permet d’optimiser son salaire de professionnel de l’enseignement tout en ayant accès à une belle qualité de vie. Les salaires sont avantageux : dans l’ensemble, les enseignantes et enseignants en Ontario gagnent de 10 000$ à 20 000$ de plus par année que leurs homologues au Québec. Dix ans après avoir obtenu son diplôme en éducation, une enseignante ou un enseignant du Québec gagnera 80 572$ alors que le même diplômé gagnera 98 936$ en Ontario.

De plus, dans le sud-ouest de l’Ontario – qui inclut les agglomérations de London (494 069 habitants) et Windsor (329 144 habitants) – un salaire va encore plus loin en raison du prix abordable des maisons. En 2018, le prix médian d’une maison à 2 étages à London était de 395 486$, tandis qu’à Montréal il se situait à 686 253$. La médiane du prix du même type de maison à Windsor était de 363 608$. Lysande Bisson enseigne dans les écoles du Conseil scolaire catholique Providence à Windsor depuis 10 ans. La native de Sherbrooke habite un quartier historique et elle constate qu’elle n’aurait jamais eu les moyens d’acheter une maison dans un secteur comparable au Québec.

Pour sa part, le psychologue scolaire Guy Gignac, natif de la ville de Québec, avait l’intention de travailler pendant 2 ans dans le Sud-Ouest lorsqu’il est arrivé en 1995. Il est resté, entre autres, pour la culture de collaboration avec les collègues: « Je me suis bien senti dans le milieu professionnel. Même si j’étais en début de carrière, je me sentais apprécié et valorisé dans mon travail. »

Et que dire de la météo dans le sud-ouest de l’Ontario? Il fait doux! À titre d’exemple, Windsor est la ville canadienne à l’extérieur de la Colombie-Britannique ayant le climat le plus clément. En effet, il s’agit du centre urbain situé le plus au sud du Canada – à la même latitude que la frontière nord de la Californie. Pendant la saison froide, qui dure seulement 3,3 mois, on connaît des températures quotidiennes moyennes qui se situent en deçà de 5 °C, selon Environnement Canada. Lysande Bisson raconte en riant qu’elle et son conjoint ont attendu 7 ans avant de s’acheter une pelle. Les accumulations de neige étant négligeables, ils se fiaient sur les habituelles journées de redoux pour faire fondre la neige.

Les habitants du Sud-Ouest ont accès aux avantages d’un grand centre urbain en raison de la proximité de la région métropolitaine de Détroit (4,2 millions d’habitants) sans avoir à composer avec les maux de tête associés aux grandes métropoles. Les déplacements, par exemple, sont faciles à Windsor. L’agglomération de 329 144 habitants ne connaît à peu près pas de bouchons de circulation. Lyne Cossette, une employée du Conseil scolaire catholique Providence originaire de la Rive-Sud de Montréal, apprécie être en mesure de vivre à 5 minutes du travail : « Je n’ai pas besoin de prévoir plus de temps pour mes déplacements en fonction des heures de pointe. Les intempéries ne sont pas un enjeu. »

Au cours des dernières années, notre croissance nous a permis d’offrir en moyenne 70 postes chaque année. De ce fait, nous maintenons une banque de candidats qui nous permettront de combler les postes vacants actuels et futurs.

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Les enseignants du grand Toronto choisissent le sud-ouest de l’Ontario

Il existe de nombreux avantages à s’établir dans la région du Sud-Ouest ontarien qui inclut les agglomérations de London (494 069 habitants) et Windsor (329 144 habitants). Du côté de London, si on a le goût d’une escapade dans une grande ville, on a l’avantage d’être situé à mi-chemin entre Toronto et Détroit. Les Windsorois, pour leur part, apprécient vivre à proximité de Détroit puisqu’ils bénéficient des attraits de la métropole américaine de 4,2 millions d’habitants, sans avoir à composer avec les maux de tête associés à la vie dans une grande ville.

À titre d’exemple, les déplacements sont plus faciles dans le Sud-Ouest. Denis Robert, surintendant adjoint de l’éducation au Conseil scolaire catholique Providence, a travaillé à Toronto pendant près de 13 ans. La congestion routière dans la Ville-Reine ne lui manque pas : « On est toujours pressé en raison des retards occasionnés par la circulation. Les déplacements sont tellement plus faciles dans la région de Windsor. Ça enlève beaucoup de pression. »

De plus, les distances de déplacement sont réduites en raison du prix abordable des maisons dans le Sud-Ouest, ce qui permet de vivre près de son travail et de passer plus de temps en couple ou en famille. En 2018, le prix médian d’une maison à 2 étages à London était de 395 486$, tandis que dans le grand Toronto il se situait à 939 610$. La médiane du prix du même type de maison à Windsor était de 223 501$.

Il existe également de nombreux avantages au chapitre du milieu de travail. Au Conseil scolaire catholique Providence, « Le personnel enseignant se retrouve beaucoup moins dans un étau où on doit performer constamment », explique Denis Robert. « C’est un bon milieu pour commencer dans la profession. On travaille davantage le perfectionnement professionnel. Il y a beaucoup d’appuis personnalisés en salle de classe et les relations sont plus chaleureuses entre les collègues. »

Jennifer O’Connor, orthophoniste en chef au Conseil scolaire catholique Providence, abonde dans le même sens. Elle et son équipe se rendent en salle de classe pour offrir des stratégies de prévention au personnel enseignant pour le bénéfice de tous les élèves. Par la suite, on offre des suivis ciblés auprès des élèves qui en ont besoin.

Les populations d’expression française dans la région du Sud-Ouest – souvent moins dispersées qu’à Toronto – offrent une masse critique permettant d’y retrouver une vie culturelle francophone vibrante. Les 23 écoles élémentaires et 7 écoles secondaires catholiques de langue française reflètent cette vitalité puisqu’elles accueillent plus de 10 000 élèves – et la population scolaire est en croissance continue, ce qui n’est pas le cas du côté des conseils scolaires de langue anglaise. Denis Robert affirme que les nombres d’élèves permettent d’offrir des programmes et services de qualité au sein des écoles du conseil.

Au cours des dernières années, notre croissance nous a permis d’offrir en moyenne 70 postes chaque année. De ce fait, nous maintenons une banque de candidats qui nous permettront de combler les postes vacants actuels et futurs.

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Les enseignants choisissent le Csc Providence pour l’appui en salle de classe

Il y a de nombreux avantages à faire carrière dans le sud-ouest de l’Ontario. D’abord, il y a la situation d’emploi. La croissance des dernières années a permis au Conseil scolaire catholique Providence de combler plus de 70 postes en enseignement chaque année.

Le territoire du conseil s’étend sur près de 29 000 kilomètres carrés et englobe les régions de Windsor-Essex, Chatham-Kent, Sarnia-Lambton, London-Middlesex, Woodstock-Oxford et Owen Sound-Bruce-Grey. Dans certains cas, le conseil scolaire rembourse les frais de déménagement du personnel qui accepte des postes dans les régions plus éloignées.

De plus, le coût de la vie dans le Sud-Ouest permet d’optimiser son salaire et jouir d’un style de vie agréable. En 2018, le prix médian d’une maison à 2 étages à London était de 395 486$, tandis que dans le grand Toronto il se situait à 939 610$. La médiane du prix du même type de maison à Windsor était de 223 501$.

Les populations d’expression française dans la région du Sud-Ouest – souvent moins dispersées qu’à Toronto – offrent une masse critique permettant d’y retrouver une vie culturelle francophone vibrante. Les 23 écoles élémentaires et 7 écoles secondaires catholiques de langue française reflètent cette vitalité puisqu’elles accueillent plus de 10 000 élèves – et la population scolaire est en croissance continue, ce qui n’est pas le cas du côté des conseils scolaires de langue anglaise. Denis Robert, surintendant adjoint de l’éducation au Conseil scolaire catholique Providence, affirme que les nombres d’élèves permettent d’offrir des programmes et services de qualité au sein des écoles du conseil.

La proximité des administrateurs, la culture de collaboration et la reconnaissance des employés sont parmi les avantages de travailler au Conseil scolaire catholique Providence. Le psychologue scolaire Guy Gignac a aimé le climat de son nouveau milieu de travail dès son arrivée en 1995: « Je me suis bien senti dans le milieu professionnel. Même si j’étais en début de carrière, je me sentais apprécié et valorisé dans mon travail. » Denis Robert abonde dans le même sens : « C’est un bon milieu pour commencer dans la profession. On travaille davantage le perfectionnement professionnel. Il y a beaucoup d’appuis personnalisés en salle de classe et les relations sont plus chaleureuses entre les collègues. »

La cohésion et le travail de collaboration se reflètent dans les taux de réussite des élèves aux tests standardisés de l’Office de la qualité et de la responsabilité en éducation (OQRE). Les résultats des élèves du Conseil scolaire catholique Providence sont parmi les meilleurs en Ontario. Gina Gobbi, directrice des services à l’élève, apprécie la vision de la réussite au sein du conseil scolaire: « Ici, on croit que dans un environnement qui le lui permet, chaque élève a la capacité d’atteindre son plein potentiel », dit-elle. Voilà pourquoi le conseil a mis en place le système de soutien au comportement positif (SCP) une approche où on renforce les bons comportements sur le champ. Lorsque l’élève a des besoins plus poussés – en travail social, en psychologie ou en orthophonie par exemple – ce n’est jamais très long entre la demande et la prestation des services » affirme-t-elle. Elle ajoute qu’on offre de l’appui au personnel en salle de classe afin de l’aider à bien accompagner les élèves ayant des besoins particuliers : « Je suis fière de la façon dont on s’occupe de nos élèves ».

Au cours des dernières années, notre croissance nous a permis d’offrir en moyenne 70 postes chaque année. De ce fait, nous maintenons une banque de candidats qui nous permettront de combler les postes vacants actuels et futurs.

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Pourquoi choisir le Csc Providence?

Parce que nous soutenons le développement professionnel

  • Nous appuyons notre personnel grâce à notre équipe de services pédagogiques et de services à l’élève hors pair
  • Nous offrons de la formation personnalisée à tous les membres de notre personnel
  • Nous accueillons et accompagnons chaque nouveau membre du personnel

Parce que nous sommes un conseil dynamique

  • Nous organisons de nombreuses activités d’animation culturelle, pastorale et sportive novatrices pour toutes nos écoles
  • Nous utilisons des ressources à la fine pointe de la technologie dans toutes nos initiatives et programmes
  • Nous avons une équipe technique totalement dévouée afin de vous fournir les outils technologiques – vidéo, audio et informatique – dont vous avez besoin pour relever vos défis professionnels et soutenir vos initiatives d’apprentissage

Parce que nous vivons dans une région dont la qualité de vie est exceptionnelle

  • Nous avons accès des logements dont le coût est nettement inférieur à celui des grands centres urbains
  • Nous profitons des températures les plus chaudes au Canada : période estivale prolongée et peu de précipitations
  • Nous vivons dans une des communautés dont le taux de criminalité est le plus bas au pays
  • Nous sommes situés à proximité de grandes villes, ce qui donne accès à de nombreux évènements d’envergure : culture, sport et loisir

Parce que notre mission et notre vision sont mises en pratique tous les jours

  • Nous offrons à nos membres du personnel un contexte de travail dont les valeurs sont orientées vers l’amour, l’appartenance, l’excellence, l’intégrité et le respect
  • Nous démontrons du leadership en inspirant nos collègues par nos connaissances, notre savoir-faire et notre savoir-être
  • Nous communiquons et mettons en pratique quotidiennement nos valeurs éducatives et chrétiennes, que ce soit dans nos gestes, notre attitude ou nos nombreuses activités

Parce que nous sommes en croissance et que nous visons la réussite

  • Nous avons doublé le nombre de nos élèves, depuis notre création en 1998
  • Nous valorisons la réussite scolaire ainsi que l’épanouissement de tous, sur les plans spirituel, moral, culturel, intellectuel, émotionnel, social et physique
  • Nous bâtissons une relation de confiance et de collaboration avec les parents

Parce que nous offrons des conditions de travail avantageuses et adaptées

  • Nous donnons accès à des postes permanents, dès la première année
  • Nous avons un système de rémunération très concurrentiel
  • Nous avons des avantages sociaux hors pair: régime de retraite et soins de santé
  • Nous offrons des postes de suppléance à court et à long terme ainsi que des emplois dans de nombreux autres domaines, tels que la petite enfance, l’enfance en difficultés, l’administration, les services d’appui, la technologie et l’entretien

Au cours des dernières années, notre croissance nous a permis d’offrir en moyenne 70 postes chaque année. De ce fait, nous maintenons une banque de candidats qui nous permettront de combler les postes vacants actuels et futurs.

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